Projets

Paille 2

Dans les bidonvilles, je regarde comment les gens vivent et construisent par eux-mêmes, dans les conditions qui leur sont faites et les savoir-faire qui en émergent.

Je travaille à ce qu’une pratique d’architecte puisse sécuriser, conforter, concevoir à la mesure des besoins spécifiques de ces territoires et de leurs temporalités, avec leurs habitants. Les décisions et et les chantiers sont faits en commun.

J’affirme que l’architecture n’appartient pas qu’aux architectes. Je souhaite tout autant que l’habitat et le logement restent (ou redeviennent) des sujets centraux pour les architectes.

J’ai conscience que l’architecture est toujours en tension entre désirs et nécessités, et que les habitats précaires que j’aborde de façon bienveillante peuvent paraître inquiétantes.

Mais l’habitat quel qu’il soit est un écrin vital, un monde.

Aussi la destruction sans remplacement des habitats non conventionnels me semble un sujet dont l’architecture doit s’emparer.

Il s’agit d’inventer, là comme ailleurs, une architecture de la réparation, dans la perspective d’une évolution plus sociale et plus ouverte de l’architecture.

L’habitat quel qu’il soit est un monde, une liberté fondamentale

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